Une semaine en distanciel et deux semaines de vacances dézonées. Cette décision était devenue incontournable suite à un déni doublé d’une gestion incohérente et peu transparente de la crise sanitaire dans les écoles. Loin d’anticiper ce scénario, le ministre place les enseignant·es et les familles dans une urgence organisationnelle. Pire, il ne semble pas davantage anticiper la réouverture prévue le 26 avril et continue d’ignorer la nécessité de mesures de protection pour les personnels et la population. (...)