Malgré une contamination qui demeure à un niveau important, le gouvernement fait le choix de risquer un accroissement de la propagation du virus. En réintroduisant le jour de carence pour les personnes infectées par ce virus et en supprimant la possibilité d’ASA aux “personnels vulnérables”, il impose des choix impossibles entre risque de contamination et perte de rémunération. Un courrier de la Direction Générale de l’Administration de la Fonction Publique (DGAFP) met fin au dispositif spécifique (...)